Portrait : Jean-Luc Marchand
Par Frédéric Candian, auteur de plusieurs romans, dont Deux âmes dans l’antre des fous (Publibook, 2002) et La communauté de Thésée (Edilivre, 2009), ainsi que du recueil de nouvelles Le langage des oiseaux (Edilivre, 2015). Son site web : www.fredcandian.fr
J’ai présenté récemment le dernier livre de Jean-Luc Marchand, Drusilla, qui est aussi son premier. Pour autant, on trouve peu d’informations sur cet auteur singulier, qui au XXIème siècle, s’inspire de Jean Racine pour réinventer l’écriture classique en Alexandrins.
Qu’est-il passé par la tête de ce cadre dirigeant d’une grande entreprise, passionné de littérature et d’histoire? Quelle mouche l’a donc piqué pour l’inciter à passer au peigne fin la pièce de théâtre Bérénice de Jean Racine? Pour rechercher, ensuite, à travers diverses sources documentaires, les éléments historiques qui allaient lui permettre d’étoffer le cadre de son intrigue?
Et puis à quoi bon toutes ces questions? Pourquoi écrit-on ce que l’on écrit? Pourquoi fait-on ce que l’on fait? Le sait-on soi-même? On suppose seulement, une fois que c’est fait, que cela devait être fait. Puis on efface tout et on recommence. Tel est le destin de l’auteur. Et telle est la raison pour laquelle il n’y a jamais assez de place chez L’ami des auteurs.
Bonjour
j’ai lu avec intérêt et plaisir les réponses que vous apportez aux interrogations que vous soulevez quant à mon irrésistible envie d’écrire cette histoire sous cette forme. Vous l’avez rappelé, c’est d’abord l’amour de la littérature, de la langue de Racine notamment, et ma curiosité de l’Histoire qui m’ont aidé pour passer à l’acte. Il y a tant d’histoires d’hommes et de femmes oubliées, que l’envie de faire revivre cette jeune femme du premier siècle au tempérament bien affirmé, a été le vrai moteur de ce travail.
Merci pour votre site, vos commentaires et de donner un peu de lumière à certains auteurs
Amitiés
Jean-Luc Marchand